Jeudi 28 juin 2007 à 20:34

J'ai tellement de choses à dire que j'aimerai qu'elles s'évaporent sous la plume fourchue de ma langue. Alors, lorsque je les retrouverai  par bribes, condensées sur le froid mirroir de vos regards, je nierai les avoir un jour prononcées. Je les laisserai dégouliner sur vos visages pourtant trop arrosés, je les laisserai se répendre sur l'ignomie fertile de vos peaux  humides et chaudes, qui saliront de leur boue maléable mes mots. Alors vous les jugerez salissants. Vous m'accuserez de vos propres  impuretés. Je ne pourrai vous apporter le mirroir de ma bouche qui répond, ou de ma main qui écrit  car vous vous enliseriez vous même sous un amas de  fumier. Toujours m'accusant. Vous n'acceptez que ses yeux muets, aveuglés par les crachas des sousentendus et des non-dits, dont on s'accomode très bien du mauvais reflet qui offre à voir ce que l'on désire.

Vendredi 22 juin 2007 à 15:00

Y' a ceux qui habitent en Franche-Comté et ceux qui ont la frange coupé.^^

Jeudi 21 juin 2007 à 12:21

Nan c'est vrai... Cela n'existe plus les princesses cloîtrées en haut d'une tour qui tressent leurs cheveux pour les  balancer par dessus bord, espèrant, en romantiques pécheuses, qu'un prince charmant mordera à l'hameçon. Elles se sont sans doute mises au goût du jour ses belles charmeuses dont la chasse, apparemment ne devait pas être si fructueuse.  En balançant leurs dreads par dessus bord, elles sont sûres de rammener un amant pour chaque tentaculaire mèche de cheveux;  lequel restera bien évidemment collé à la mèche en question - limittant les pertes d'amants maladroits- et pourra bénéficier d'un garde-manger prévu au sein même de la chevelure - au cas où le prétendant aurait à faire à une princesse étas-unienne vivant dans un building. Voilà pour les reines du buisness qui ont su se recycler. Cependant, il faut l'avouer certaines de nos fameuses princesses nattées ont finies vieilles filles: filet dans les cheveux et bigoudis. Elles s'échinent donc encore à balancer par dessus bord ce filet de marin d'eau douce qui ne leurs rammène que quelques rares profits; minuscules crevettes qu'elles bouffent enrobées de pâte, en nem dans un bigoudi.

Mercredi 20 juin 2007 à 22:50

Voilà ce qu'il me faut : c'est un bon petit communiste bien frais, plus grenadine que diabolo...  Enfin nan les deux de toutes manières se sera bon...Avec des petites bulles, une belle paille...humm     

Après ça c'est sûr, ça ira mieux...  

De terre en vigne, Brett Jubinville. La transformation de la vigne en vin.

Dimanche 17 juin 2007 à 18:53

"Je nage comme une analphabète"     Polet'     (Il s'en suivit une sombre histoire de crapaud à palme)

"Il vendait de la poudre mais pas qu'à la chandeleur si vous voyez ce que je veux dire."  M.Savigny

"Il exploite pas son inteligence en classe pour une inteligence sociale DONC il est niais."         Marie Lel'

"C'est fou ça, dès que je m'excite sur le totem il arrête pas de gicler!"  -l'auteur de cette phrase souhaite garder l'anonymat-

"Oh, il pleut de la neige!!" Delphine

"Laura...euh...Marie...euh...Lilaaa..reuh..Maaarc.Rah! Comment tu t'appelles déjà??!"  Ma mère

"Qu'est-ce qu'elle réfléchit Laura quand elle est sur le trône! C'est même son principal lieu de réfléxion!"    Marie Lel'

"Lucie tu vas pas mettre ça sur ton blog quand même! Après i vont s'dire :  ce sont pas des intelectuelles ses soeurs, elles craignent. Déjà que je suis pas à mon avantage sur la photo!"  Laura Lel'

"Si je nage à côté de Sylvain, on sera un couple de nageurs" 

Klem                 (j'en profite pour faire un peu de pub : http://retrospective.cowblog.fr  )

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