ZZ ZZZZZ ZZZZZZzzzzzzzzzzzzzzzzzZZZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzzzzzzzzZZZZZZZZZZzz
RRRRRRRRaaaaaaamppCHCHCHCHCH
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En un éclair je flash sur une diva dans une chambre noire allongée sur un divan blanc. Le coup de foudre? je sais pas, mais une étincelle verticale, certainement. Elle est vêtue seulement d'un peignoir élégant.
Elle l'enlève sans complexes et prend des pauses très sexe sur son divan blanc. Je n'en peux plus je prends les choses en main.
Je comprends d'un coup. Un pornographe qui parle sans fautes d'ortographe lui expose les objectifs de la scéance. L'objet surexposé sur son divan ne se lasse pas de s'exhiber et se prélasse sensuellement.
Il vise super bien et supervise les opérations. Moi je ne calcule plus rien au numérique je suis complètement à côté de mon slip.
Je vois la diva qui file! Elle se défile pour le développement. Elle veut pas être tirée à quatre épingles à un fil le temps qu'on lui tire le portrait en noir et blanc. En attendant elle tire la tronche, toute nue dans un coin de la chambre noire. Et le pornographe fait son auto faux cul, en lui léchant les bottes qu'elle n'a pas.
Le pornographe dégraphe sa robe qu'elle remettait hâtivement, et accepte qu'elle se dérobe à l'examen du peinge fin. On ne lui cherchera pas de pellicules aujourd'hui.
Encore un éclair, je flash sur une grande blonde pulpeuse à trois talons. Une sorte de plante verte sur un trépier qui réalise sa photosynthèse à la photocopieuse. Je la photosynthétise recto verso et j'en défaillis de plaisir.
DRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIING
ZZZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzzzzzZZZZZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzz zzzzzzzzzzzz zzzzzzzzzzz
Haaaaarrrggh!!!!!
MAMAN?! C'est pas ma faute Maman, c'est... C'est la faute aux filles.... La faute aux filles. Pardon Maman.
La fautauxfilles,
la photofilles,
la photophil,
la photophilie.
BAAAAAAAAAM !!!
Aïe !
Je ne m'endormirai plus jamais avec des photos indécentes sous mon oreiller....