Jeudi 31 janvier 2008 à 20:15

Ho! Je suis lasse d'aimer  ces sucreries qui ont leurs exigences sur la façon dont on doit les déguster. Celles-ci même que l'on doit laisser fondre doucement et caresser de la langue sans jamais les croquer. Elles savent qu'on les aime, elles savent que tout le monde les aime,  et elles se font un plaisir d'être bonnes, succulentes et agréables. Elles laissent dans la bouche un goût délicieux à fin de se faire désirer une nouvelle fois. Elles piègent de la sorte millions et millions de gourmands en quête de douceur. Et bien j'en ai assez voyez vous de ce sucré, de ce mielleux, de ce douçâtre qui sait  si bien se faire aimer de tous et qui enfaite, ne fais que cribler nos dents de carries et nous arondir amoureusement les hanches. Han! Elles nous pourissent la vie ces sucreries! Au goulag les sucreries! Hors de ma vie! Désormais je ne veux plus bouffer que de la pierre sans emballage, sans préliminaires, dure et nature. Au moins je saurai pourquoi j'ai les dents cassées.

Jeudi 31 janvier 2008 à 19:42

Tilalilalilali...La nuit tous les chats sont gris

Tilalilalilala...Je fais de la poutre sur le toît.

Tilalilalilalé... Sur la double  voie lactée

Tilalilalilalou...Je fais la grande roue

Tilalilalilaloule...Et je roule, roule

Tilalilalilalage...Au milieu des embouteillages

Tilalilalilalère...De réverbères et de lumières.

Tilalilalilalon...Et je joue à saute mouton

Tilalilalilalare...Avec des nuages noirs

Tilalilalilaleur...Qui volent les rêves des dormeurs.

Tilalilalilali...Les étoiles sont mes souris

Tilalilalilali...La nuit tous les chats sont gris

Vendredi 25 janvier 2008 à 21:41

....Ces pages merdiques de pubs qui s'affichent sur cowblog à chaque fois que je veux poster un article tu supprimeras!!

Vendredi 25 janvier 2008 à 21:32

En fait, je n'aime ni  vraiment les femmes ni vraiment les hommes. Il  faudrait un troisième sexe.. Resucitons Simone!

Jeudi 24 janvier 2008 à 17:33

Les Djs des meilleures boites de nuits sont des tarentules. On ne le croirait pas. Ce sont pourtant leurs petites pattes agiles qui remixent les musiques de l'hypnose . Elles  dansent frénétiquement sur les plages de CDs, variant les pistes musicales sur lesquelles vous vous déchainez. Elles savent  déraper, se déployer, se rétracter comme aucune main n'a jamais su . Les sons  qu'elles tissent pour vos nuits sans étoiles sont autant de tortures qui les poussent à tisser jusqu'au bout de la nuit ces toiles musicales. Lorsque la nuit se retire et n'a plus raison des êtres, elles tombent raides mortes, jonchant le sol des cabines de Dj. Joyeuse vie que celle passée à dancer ?

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