Monsieur, vous me semblez bien à cheval sur vos principes. Je dirai même écartelé entre quelques idées butées. Vos partis, trop à l'étroit ne comptent plus que quelques partisans mous.
Je vous proposerai, Monsieur de débrider un peu cette tenue rigide et de descendre de scelle qui vous cravache à coup de cravate, de celle qui porte la même culotte que votre cheval.
Oui, Monsieur, regardez plutôt celle qui lance des œillades muettes à vos œillères aveugles. Donnez-moi les rennes, Monsieur, et je chevaucherai vos principes avec ardeur.