Mercredi 20 juin 2007 à 22:50

Voilà ce qu'il me faut : c'est un bon petit communiste bien frais, plus grenadine que diabolo...  Enfin nan les deux de toutes manières se sera bon...Avec des petites bulles, une belle paille...humm     

Après ça c'est sûr, ça ira mieux...  

De terre en vigne, Brett Jubinville. La transformation de la vigne en vin.

Dimanche 17 juin 2007 à 18:53

"Je nage comme une analphabète"     Polet'     (Il s'en suivit une sombre histoire de crapaud à palme)

"Il vendait de la poudre mais pas qu'à la chandeleur si vous voyez ce que je veux dire."  M.Savigny

"Il exploite pas son inteligence en classe pour une inteligence sociale DONC il est niais."         Marie Lel'

"C'est fou ça, dès que je m'excite sur le totem il arrête pas de gicler!"  -l'auteur de cette phrase souhaite garder l'anonymat-

"Oh, il pleut de la neige!!" Delphine

"Laura...euh...Marie...euh...Lilaaa..reuh..Maaarc.Rah! Comment tu t'appelles déjà??!"  Ma mère

"Qu'est-ce qu'elle réfléchit Laura quand elle est sur le trône! C'est même son principal lieu de réfléxion!"    Marie Lel'

"Lucie tu vas pas mettre ça sur ton blog quand même! Après i vont s'dire :  ce sont pas des intelectuelles ses soeurs, elles craignent. Déjà que je suis pas à mon avantage sur la photo!"  Laura Lel'

"Si je nage à côté de Sylvain, on sera un couple de nageurs" 

Klem                 (j'en profite pour faire un peu de pub : http://retrospective.cowblog.fr  )

Dimanche 17 juin 2007 à 18:30

                                    

Une chenille est allongée sur le ventre, en travers d'une barque retournée, comme après une tempête en mer. Elle s'accroche fermement au bois, de tout son collant. Elle est tellement épuisée qu'elle se sent l'âme d'un zombie. Ca c'est sûr, elle aimerait fermer les yeux et se reposer. Mais les mouettes volent en cercles concentriques autour d'elle et attendent patiement la moindre faille de sa part.  

L'histoire pourrait être tout à fait différente si j'étais une plume d'une des mouettes au lieu d'être un bout de collant de la chenille. Voilà pourquoi il ne sert à rien de la poursuivre.

Jeudi 7 juin 2007 à 11:10

                                                                                         

Je pense être trop bien élevée pour m'inviter chez toi sans m'être lavée trois mois durant. Je pense également être trop bien élevée pour t'inciter à une crasse commune, et à la découvèrte de cette crasse commune par l'exploitation de tous les sens humains. Et je serai trop  bien élevée pour te proposer de courir avec moi, à poil sur le vent , vêtus de toute la grâce de notre crasse, pour te coucher dans l'air et te répliquer que je suis une bombe de princesse aux alures de truie.Tu ne tarderais pas à te laisser convaincre en frétillant...

 Dommage que je sois si bien élevée, n'est ce pas?

Jeudi 7 juin 2007 à 10:45

C'est calme dis donc. Y a un ou deux merles dont les piaillements s'échinent à franchir le seuil de ma fenêtre. Y a un bruit d'aspirateur en bas, et y a les touches de clavier qui sautillent. Puis le vide. Le vide qui se comble forcément de bruits qui l'ont rempli. Enfin c'est comme ça que j'explique la présence d'Emma ce matin qui parlait toute seule, dans ma tête,  des rois dans une partie de tarot. Ptiron qui parle de céréales et Pauline des gens qui vont en L et d'une fille qui marche devant nous. Marie de transmitions de pensées et de fourmis. Charlotte qui dis des trucs que je comrpends pas mais je reconnais sa voix. Et leur voix se mêlent dans le silence... Le silence qui pèse sur l'estomac comme le smecta.  Nan mais ohoh chui en vacances  et j'me plains ! Nan mais où va le monde ! Un peu de nerfs! C'est pas comme s'ils me manquaient...

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