Ton manteau, tes yeux , je crois les voir accrochés dans le feuillages des forêts.
Je ne te fuis plus, je ne te fuis plus, ma si belle petite muse, ma fée. Je ne te fuis plus. Je suis essoufflée, je renonce à te semer, mon petit grain de folie.
Ton rire dévastateur est un furieux incendie. Tu fous le feu à tous nos ennuis.Et tous nos soucis partent en fumée...et en fumée...et en fumée...
Tu ne cesses de me suivre. Ton prénom comme un tintement de clochette à mon oreille, puis comme une odeur à mon cou, et dans les lignes de ce poème de Prévert, tu te consumes.Tu me parfumes et tu te fumes, petite folle. Et je t'aime fébrilement, comme un enfant trop fragile qui ne sait pas encore et qui apprend.